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        20 au 28 juillet 2018

 

26 mai 2018 6 26 /05 /mai /2018 15:22

Carl Philipp Emanuel BACH :

 

Les deux concertos pour violoncelle et orchestre 

et la symphonie en sol majeur H 648

par Jean-Guihen Queyras et l’Ensemble Resonanz

dirigé par Ricardo Minasi.

 

Jean-Guihen a été « chef invité » de cet ensemble pendant plusieurs années.

" Un disque superbe.

L’orchestre est d’une précision, d’une énergie et d’une sonorité remarquables.

Jean-Guihen est en belle forme dans un répertoire où il excelle.

 

Je l’affirme avec ma totale subjectivité que j’assume totalement ! "

 

                                                           Jean-François Queyras

Une publication de l'Ensemble Resonanz.

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Publié par Rencontres Musicales - dans L'actualité musicale
22 avril 2016 5 22 /04 /avril /2016 09:05
Litanies pour Ronchamp

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Cette œuvre de Gilbert Amy sera présentée aux Rencontres musicales du XXI° siècle

Dimanche 15 mai à 17h
Abbaye de Silvacane / La Roque d'Anthéron

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Musicatreize | ensemble vocal et instrumental Roland Hayrabedian

           Litanies pour Ronchamp // Rencontres musicales du XXI° siècle - $u->lm($dReponse['event'], 'date_event_', $lang)                      
 
Litanies pour Ronchamp // Rencontres musicales du XXI° siècle
Dimanche 15 mai à 17h
Abbaye de Silvacane / La Roque d'Anthéron

 

Programme des rencontres musicales du XXI°siècle:

 

 

15h : Rencontre avec Zad Moultaka, compositeur.

16h : Rencontre avec Gilbert Amy, Compositeur dont on fête les 80 ans.

17h : Concert de l’ensemble Musicatreize / Dir. Roland Hayrabedian.
Avec la participation de l’ensemble Gustave (quatuor à cordes) et du percussionniste Christian Hamouy.

Gilbert Amy Litanies pour Ronchamp
Est inséré dans l’œuvre l’Adagio du 15ème quatuor de Beethoven.


Samedi 14 & dimanche 15 mai :
« L’autre rive » de Zad Moultaka / Installation du GMEA Groupe de musique électro-acoustique d’Albi
Installation sonore pour les visiteurs de l’abbaye.

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Publié par Rencontres Musicales - dans L'actualité musicale
1 décembre 2014 1 01 /12 /décembre /2014 18:31
Jean-Guihen Queyras, la parole est au violoncelle

Emmanuelle GIULIANI, dans La Croix du 30 octobre

 

De Beethoven aux traditions musicales de la Méditerranée, le violoncelliste est toujours en quête d’aventures artistiques et de rencontres nouvelles

 

 

JGQ La Croix
/©Francois Sechet/Leemage

Le violoncelliste Jean-Guihen Queyras participera bientôt à une tournée avec l’Orchestre de Philadelphie.

 

« Je revendique le fait d’être influençable ! » Voilà une maxime qui met à mal le cliché répandu (et pas toujours infondé) selon lequel l’artiste est un être égotiste et jaloux de ses prérogatives. Le violoncelliste Jean-Guihen Queyras aime au contraire se frotter aux autres, discuter, débattre même, et voir ainsi évoluer sa conception des œuvres et de l’interprétation musicale.

« Au début, le compagnonnage avec le pianiste Sacha (Alexander)Melnikov n’a pas toujours été facile. C’est un artiste radical, qui prend tous les risques. Cela m’a incité à changer beaucoup de choses dans mon jeu », raconte-t-il à propos du double CD Beethoven, une splendeur d’équilibre et d’expression, qu’ils publient ensemble chez Harmonia Mundi.

« Sacha n’y est pas allé de main morte pour défendre ses choix ! Et, de mon côté, je ne suis pas un tiède non plus  ! Les échanges ont été vigoureux, stimulants. Ces joutes de l’esprit vont très bien avec la musique de Beethoven et ses géniales sautes d’humeur... »

 

GRAND RÉPERTOIRE ET ŒUVRES MOINS ACADÉMIQUES

Artiste hautement estimé de ses pairs, Jean-Guihen Queyras se sent aussi à l’aise dans le grand répertoire pour violoncelle (on lui doit, par exemple, des Suites de Bach apolliniennes) qu’enclin aux aventures moins académiques, mais tout aussi exigeantes et raffinées.

Complice de longue date des frères Chemirani, virtuoses des percussions iraniennes, et du guitariste grec Sokratis Sinopoulos, il explore en leur compagnie les musiques traditionnelles de la Méditerranée, mises en regard avec des pièces contemporaines.

« Depuis mon plus jeune âge, je suis fasciné par les percussions. Elles m’attiraient autant que le violoncelle. Et puis, enfant, j’ai vécu trois ans en Algérie : la magie des correspondances intimes entre la langue et la création sonore me touche particulièrement. »

Pour Jean-Guihen Queyras, cette rencontre en musique entre les peuples prend tout son sens dans le contexte international actuel où les conflits les plus atroces laissent douter de la capacité des hommes à s’entendre.« Sans se bercer d’illusions, les musiciens ont un rôle à tenir dans la vie sociale et citoyenne. Nous sommes confrontés aux mêmes défis que tout un chacun, avec la chance, c’est vrai, de travailler dans un univers d’art et de beauté. »

 

EN TOURNÉE AVEC L’ORCHESTRE DE PHILADELPHIE

Installé avec sa famille en Allemagne, l’artiste quitte souvent son pays d’adoption (il donne alors volontiers ses rendez-vous dans les gares) pour sillonner l’Europe et au-delà : il va notamment participer à une tournée avec l’Orchestre de Philadelphie sous la direction de son chef, le Québécois charismatique Yannick Nézet-Séguin. Leur route passera par le mythique Carnegie Hall de New York !

Le 23 novembre, il fera par ailleurs une halte très attendue dans le tout nouvel auditorium parisien de Radio France, lors de la Carte blanche offerte au compositeur Péter Eötvös dont il interprétera le concerto pour violoncelle.

« Une partition qui installe une relation au temps vraiment intéressante. Il le déstructure puis reprend l’élan, s’égare à nouveau... mais, finalement, pour nous ancrer de manière saisissante dans l’‘‘ici et maintenant’’ », analyse le musicien.

 

« SE PROTÉGER DE L’URGENCE ET DE L’IMMÉDIATETÉ »

Jean-Guihen Queyras met sa pertinence à décoder l’univers des créateurs au service des jeunes interprètes. « Il faut trouver les mots pour aider les élèves à pénétrer dans le laboratoire des compositeurs. Pourquoi Schumann a-t-il placé ici cet accord plutôt que celui-là  ? Pourquoi, soudain, cette rupture rythmique dans cette page de Brahms ? Formuler de telles questions m’aide à reconsidérer mes propres réponses... »

Pourtant, le pédagogue a décidé de s’offrir une année sabbatique :« Après treize ans d’enseignement, sans interruption, je sens le besoin de m’octroyer une pause. Ne serait-ce que pour retrouver un peu de temps pour les enfants, la lecture, le sport... ou tout bêtement pour ne rien faire ! »

Lui qui s’avoue tellement moins organisé que son grand ami le pianiste Alexandre Tharaud, reconnaît chercher désormais à « se protéger de l’urgence et de l’immédiateté ». Grisantes, certes, mais menaçantes aussi.

Son inspiration : Beethoven, compagnon d’enfance

« Un des premiers disques qui m’ont marqué concernait précisément les Sonates pour violoncelle et piano de Beethoven que nous venons d’enregistrer avec Alexandre Melnikov (1), se souvient Jean-Guihen Queyras. Je revois la pochette avec le profil de Pablo Casals fumant la pipe... Le pianiste était Rudolf Serkin... » Ces œuvres ont ensuite accompagné l’apprentissage du jeune violoncelliste  : « Je les aime toutes mais j’avoue un gros coup de cœur pour l’opus 69 en la majeur. C’est une œuvre absolument parfaite par son lyrisme émouvant et le rôle plein et entier qu’elle donne au violoncelle. » Jean-Guihen Queyras est heureux et honoré de jouer en janvier prochain dans la maison de Beethoven à Bonn,« sur le violoncelle que le compositeur avait chez lui. Il a été retrouvé en Israël et mis à disposition de la Beethoven-Haus ».

Emmanuelle GIULIANI
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Publié par rencontresmusicales - dans L'actualité musicale
13 mai 2014 2 13 /05 /mai /2014 13:29

 

Dimanche 8 juin 2014  

 rando2013 0(7)

 

Déroulement de la journée

 

Cette année, notre parcours nous conduira vers le Vieux Redortiers. Nous continuerons au-delà des ruines pour rejoindre à travers vallons et forêts « les Graves », lieu mythique des rencontres des Contaduriens autour de Jean Giono

Comme les années précédentes, nous serons accompagnés par Hubert Blond, accompagnateur en montagne. C’est avec lui que nous avons préparé l’itinéraire.

 

 

 

Trois musiciens cette année vont nous offrir de beaux moments musicaux :

Michel Tirabosco qui joue de la flûte de pan,

Veronique et Pierre-Olivier Queyras, nos compagnons habituels.

 

Départ à 9 heures précises au carrefour

        de la départementale 950 (Banon-Revest du Bion)

       et de la D5 (direction Le Contadour)

 

Première étape :

Départ de ce carrefour pour rejoindre le Vieux Redortiers que nous traverserons. Un peu plus loin sur la crête : Premier moment de musique suivi du pique-nique. (environ une heure de marche)

 

Deuxième étape : 

 De crêtes en vallons, de clairières en forêts nous rejoignons « Les Graves » pour le deuxième moment de musique suivi de la collation amicale habituelle. (1h40 de marche environ)

 

Retour aux voitures :

Retour libre aux voitures par le vallon (environ 1h30 de marche.)

Possibilité pour les plus fatigués d’emmener quelques chauffeurs récupérer les voitures.

Retour prévu à partir de 19 heures, sauf pour les bavards... !

 

Pour les marcheurs :

 S’équiper du matériel habituel pour une randonnée peu difficile : chaussures, vêtements de saison, chapeau, bâtons de marche (pour ceux qui apprécient). Eau et pique-nique pour midi.

 

Tarif :

25€ par personne, 12€ pour les enfants, les jeunes jusqu’à 16 ans ainsi que les personnes à revenu limité.

 

Inscriptions obligatoires :

Le nombre de marcheurs est impérativement limité à 60.

S’inscrire à l’Office du Tourisme de Forcalquier- Montagne de Lure,

à partir du 15 mai,     au 04 92 75 10 02.

 

 

En cas d’intempérie :

Nous prévoyons de trouver une solution de remplacement abritée où nous pourrons nous retrouver pour profiter de la musique et de moments conviviaux en compagnie des musiciens.

En cas de menace météorologique contacter l’office de tourisme (04 92 75 10 02)

ou JF Queyras (06 89 78 50 67)

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